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que je ne veux rien voir de ce qui me pourroit faire regretter la vie. Vous m’avez éclairci trop tard ; mais ce me ſera toujours un ſoulagement d’emporter la penſée que vous eſtes digne de l’eſtime que j’aie eue pour vous. Je vous prie que je puiſſe encore avoir la conſolation de croire que ma mémoire vous ſera chère, & que, s’il eût dépendu de vous, vous euſſiez eu pour moy les ſentiments que vous avez