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gement de madame de Thémines ne m’avoit détaché d’elle malgré moi. Elle me fit voir qu’elle ne m’aimoit plus ; & j’en fus ſi perſuadé, que je fus contraint de ne la pas tourmenter davantage, & de la laiſſer en repos. Quelque temps après, elle m’écrivit cette lettre que j’ai perdue. J’appris par là qu’elle avoit ſu le commerce que j’avais eu avec cette autre femme dont je vous ay parlé, & que c’étoit la cauſe de ſon