Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 3.djvu/48

Cette page n’a pas encore été corrigée

que j’ai dit que la lettre étoit dans les habits que j’avais hier, & que ceux qui en avaient la clef étaient ſortis. Donnez-moi promptement cette lettre, ajouta-t-elle, afin que je la luy envoie, & que je la liſe avant que de l’envoyer pour voir ſi je n’en connaîtrai point l’écriture.

Madame de Clèves ſe trouva encore plus embarraſſée qu’elle n’avoit penſé.

— Je ne ſais, Madame