Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 3.djvu/19

Cette page n’a pas encore été corrigée

où je ſuis. Il me paraît qu’il faudroit que vous viſſiez la reine dauphine ſitoſt qu’elle ſera éveillée, pour luy redemander cette lettre, comme l’ayant perdue.

— Je vous ay déjà dit, reprit monſieur de Nemours, que la propoſition que vous me faites eſt un peu extraordinaire, & que mon intéreſt particulier m’y peut faire trouver des difficultez ; mais de plus, ſi l’on a vu tomber cette lettre de votre