Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 3.djvu/141

Cette page n’a pas encore été corrigée

qui avoit avoué à ſon mari la paſſion qu’elle avoit pour un autre. Il l’aſſura que monſieur de Nemours étoit celuy qui avoit inſpiré cette violente paſſion, & il la conjura de luy aider à obſerver ce prince. Madame de Martigues fut bien aiſe d’apprendre ce que luy dit le vidame ; & la curioſité qu’elle avoit toujours vue à madame la dauphine pour ce qui