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loit quelque ſecours pour m’aider à calmer ſon eſprit : J’envoïay querir ſon frere, que je venois de quitter chez le Roy : j’allay luy parler dans l’antichambre avant qu’il entraſt, & je luy contay l’eſtat où eſtoit Sancerre. Nous donnâmes des ordres pour empêcher qu’il ne vid Eſtouteville, & nous employâmes une partie de la nuit à tâcher de le rendre capable de raiſon. Ce matin je l’ay encore trouvé plus affligé,