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vint trouver, pour luy dire que la vicomteſſe d’Uzès avoit cru néceſſaire de l’avertir en diligence, que l’on avoit dit chez la Reine qu’il eſtoit tombé une lettre de galanterie de ſa poche pendant qu’il eſtoit au jeu de paume ; que l’on avoit raconté une grande partie de ce qui eſtoit dans la lettre ; que la Reine avoit témoigné beaucoup de curioſité de la voir ; qu’elle l’avoit envoyé demander à un de ſes gentilſhommes ſervants,