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belle-mère, qui s’en alloit avec le Roy voir travailler à la lice. Après que l’on y eût été quelque temps, le Roy fit amener des chevaux qu’il avoit fait venir depuis peu. Quoiqu’ils ne fuſſent pas encore dreſſez, il les voulut monter, & en fit donner à tous ceux qui l’avoient ſuivi. Le Roy & monſieur de Nemours ſe trouvèrent ſur les plus fougueux ; ces chevaux ſe voulurent jeter l’un à