Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 1.djvu/99

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

qua-t-il, que vous me donnez de certaines apparences dont je ſerois content, s’il y avoit quelque choſe au-delà, mais au lieu que la bien-ſeance vous retienne, c’eſt elle ſeule qui vous fait faire ce que vous faites. Je ne touche ni vôtre inclination ni vôtre cœur, & ma preſence ne vous donne ny de plaiſir ny de trouble. Vous ne ſçauriez douter, reprit-elle, que je n’aye de la joye de vous voir, & je rougis ſi ſouvent en vous