Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 1.djvu/69

Cette page a été validée par deux contributeurs.

& d’élevation ſe trouvoient ſouvent joints à ces autres intereſts moins importans, mais qui n’étoient pas moins ſenſibles. Ainſi il y avoit une ſorte d’agitation ſans deſordre dans cette Cour, qui la rendoit trés‐agréable, mais auſſi trés‐dangereuſe pour une jeune perſonne : Madame de Chartres voyoit ce peril, & ne ſongeoit qu’aux moyens d’en garantir ſa fille. Elle la pria, non pas comme ſa mere, mais comme ſon amie, de

luy