Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 1.djvu/193

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

phine, de luy voir chercher des raiſons & s’étonner d’une choſe dont apparemment elle ſçavoie mieux la verité que perſonne. Elle ne pût s’empêcher de luy en témoigner quelque choſe, & comme les autres Dames s’éloignerent, elle s’approcha d’elle, & luy dit tout bas : Eſt-ce auſſi pour moy, Madame, que vous venez de parler, & voudriez-vous me cacher que vous fuſſiez celle qui a fait chan-