Page:La Fare - Mémoires de Madame la Comtesse de la Bouquetière de Saint-Mars, 1884.djvu/29

Cette page n’a pas encore été corrigée

de partir sans moi ; onc je ne l’ai revu, et je n’en fus pas fâchée, car cette connaissance à Paris eût pu être fâcheuse. Je ne pus aller coucher qu’à Versailles, où j’arrivai fort tard.