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parler des tristes journées de Juillet 1830. Il en fut atterré et, dès le 3 août, il écrivait : « Il en coûte de quitter une carrière qu’on aime, qui était nécessaire à mon bien-être particulier, mais le devoir passe avant tout. Mon parti est pris de quitter le service si la couronne passe sur la tête d’un autre roi que celui qu’appelle la légitimité. » Sur sa demande il fut, par ordonnance du 6 septembre 1830, mis en demi-solde, et sa retraite définitive fut liquidée en mai 1842.

Il est mort à Angers, le 22 novembre 1849.