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ou les Mœurs de ce ſiecle.

Chaire, ou pour les vers, qui tfycfl- plus ; Y’a-r’il dcà hommes‘ qui» dè-generent de ce quîilsfurent- autrefois ; efrâce leur merice qui foi : ufë, ou le goût que l’on avoi l : pour eux ?

¶ Un hommefäbäzridictfic porte tut-long chapeau», un pourpoints aîlerons, dcs chaufe {ès à êguillèttes 5c" des botrincsë ilréve la’ ‘veille par où 8c com-mcnr ilŸpourra (‘e ‘faire rennar : querle jour qui fuir. Un Philefdphe‘ ‘feÿlziiilë habiller par fbh Tailleur ; il ‘y a autant dé fäiblcfle àwrfînir-la ; mode que YËŒSËÎER

¶ Le Cortrrifah autrefois avoîttfcse ‘cheveux, cfloice en chäufïés ’36 en ipourpoänr, pou ? toit ‘de : larges ‘canons, a : ‘il cfloir. libertin ; zcela’ ne ficd plus» : il : porte. ‘Lme. perruque, l’habit. ferré’, lé ‘bas uni, 5c i1 efiælevot ’ : ‘tout (e reglc’ par la mode.