Page:La Boétie - Discours de la servitude volontaire.djvu/219

Cette page a été validée par deux contributeurs.


Lettre de Montaigne


Page 183. — (¹) François de Peyrusse, comte d’Escars, était lieutenant du Roi en Guyenne depuis les premiers mois de 1559.

Page 183. — (²) Gernignan, village de la commune de Taillan, à peu de distance au nord-ouest de Bordeaux. La Boétie s’y arrêta à la maison de campagne de Richard de Lestonnac, beau-frère de Montaigne.

Page 183. — (³) Avant d’être curé de Bouilhonnas, Étienne de La Boétie avait été prieur des Vayssières, près Sarlat, et il avait étudié à Toulouse, au collège Saint-Martial, de 1517 à 1523. Il prit son grade de bachelier en droit le 3 mars 1523.

Page 193. — (¹) Montaigne se trompe légèrement en donnant à ce testament la date du dimanche 15 août. C’est le samedi 14 qu’il fut confectionné.

Page 194. — (¹) C’était la fille de sa sœur Anne, épouse de Jean Le Bigot, seigneur de Saint-Quentin, près Castillonnès.

Page 195. — (¹) Marguerite de Carle avait eu de son premier mari, Jean d’Arsac, deux enfants : un fils, Gaston d’Arsac, et une fille, Jaquette d’Arsac.

Page 197. — (¹) Né le 17 mai 1534, Thomas de Montaigne, sieur de Beauregard, était le frère cadet de Michel. Il épousa plus tard Jaquette d’Arsac, belle-fille de La Boétie.