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· _ ·' _ r ,» —· 9 v . À - 1 ` .· ' U TRADVITE DE GREC EN FRANCOIS par I M. ESTIENNE DE LA BOÉTIE ' consnrnnnn nv nov EN SA c0vn·r DE PARLEMENT A B 0 RD E Avx ` ` ' - aa . NE fois, i’ouy Socrates debatre ainiî à Clmpin-e r. È peu pres, de la mefnagerie. La mefna- C É gerie, dit-il, ô Critobule, eit-ce quelque i fçauoir qui a nom ainfi, comme la ·» ¤ "~”* · medecine, Porfeuerie, la charpenterie, 5 qu’en dis-tu? Il me femble bien qu’ouy, dit C-ritobule. Et fçaurions nous point dire quel eit le faiët de la mefnagerie, dit Socrates, comme nous dirions bien fi nous voulions quel eit celuy de chacun de ces autres arts? le penfe pour vray, dit Critobule, que le faiét Le imm , , . . ` d’·vn bon IO d vn bon mefnager, c eft de bien gouuerner fa marion, ,,,%,¤gcT_ Et uo la maifon d’autru , dit Socrates ii uel u’vn 7 (Nous avons maintenu les manchettes imprimées dans Yédition originale. Ces sommaires sont vraisemblablement de Montaigne, ce qui ne permet pas de les négliger ici; et nous reproduisons entre guillemets des sommaires manuscrits et inédits qui se trouvent sur les marges d’un exemplaire appartenant à M. Reinhold Dczeimeris. Quoique non signés, ceux-ci paraissent être aussi de la main de Montaigne; on peut le conclure de l’examen de l‘écriture et de Panalogie de rédaction et d’orthographe. —Les mots ou parties de mots rcnferrnés entre crochets représentent la restitution probable de bouts de lignes tranches par le couteau d’un relieur.) 9 .