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SECONDE PARTIE

Mes infidélités & l’enlèvement de ma toiſon, me font perdre un riche entreteneur.


Je continuai mes viſites au pavillon de Monroſe, pendant huit jours ; quoique nous fuſſions unis comme le lière à l’ormeau, il fallut ſe ſéparer. Si j’étois reſtée à Libourne, je l’aurois quitté plus tard, ou je l’aurois gardé en troiſieme, comme je l’avois en ſecond, car je ſentois qu’il m’étoit néceſſaire de faire de nouvelles découvertes ; je n’étois point embaraſſée de conduire une intrigue, le jour m’offroit place pour deux encore : il avoit le ſoir, on ſait à qui mes nuits appartenoient ;

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