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ries & forma, avec Théodore, le plan
de m’arracher juſqu’à la derniere
plume.
D’abord on m’accabla de careſſes ; Théodore me fit coucher avec elle, & me fit paſſer une nuit aſſez agréable par ſes agaceries libertines ; je n’ai jamais connu de coquine plus vive & plus lubrique ; je lui en fis mon compliment. — Si toutes les femmes, me dit-elle, me reſſembloient, elles ne ſeroient jamais la dupe des hommes, & ſe paſſeroient aiſément d’eux. Comme je n’étois pas, à beaucoup près, de ſon avis, je la laiſſai dire pour ne pas trop lui faire connoître mes goûts, & pour jouir, en attendant mieux, de ce genre de plaiſir qui ne peut convenir qu’à une femme dont les reſſorts ſont uſés. J’ai
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