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qu’au bien-être des individus et des peuples — de leur enseigner l’esprit de paix et la tolérance — et d’appeler sur la terre, à l’exemple de la Révolution française, le règne de la raison, de la justice et de la fraternité.

(Vifs applaudissements).

M. le Président. — Conformément à la décision du Congrès, il ne peut pas y avoir de débat. Je mets donc aux voix…

Un Délégué. — J’aurais un additif à proposer. (Bruits).

M. le Président. — Je ne veux pas vous donner la parole.

Je mets aux voix la résolution dont il vient d’être donné lecture.

(Le vote a lieu à main levée)

M. le Président. — La résolution est adoptée, à une très grande majorité.

M. Émile Kahn, Secrétaire général. — Nous avons l’habitude de publier, avec les résolutions des Congrès, l’indication des conditions dans lesquelles elles ont été adoptées. C’est pourquoi je me permets de demander très respectueusement au Bureau de séance de vouloir bien compter exactement les voix contraires et les abstentions, afin qu’elles figurent dans la publication des Cahiers.

M. Goldschild (Fédération de la Seine). — Je fais une proposition ferme d’ajournement, pour les raisons données hier par Casati.

M. le Président. — Nous n’allons pas maintenant rouvrir le débat. Je vous demande seulement de recommencer le vote, afin de nous permettre de compter les voix contraires et les abstentions.

(Le vote a lieu, à main levée.)