Sa fouterie est si sotte
Que vous ne déchargez pas.
Les plaisirs de la bigote,
Sont quand l’envoyé des cieux
La fout pour l’amour de Dieu, (bis)
Ne vous arrêtez pas à l’adroite hypocrite
Qui, masquée en tout temps, vous trompe et vous évite,
Par de trop beaux discours, vous amène au chemin
Du malheur et des maux qu’elle cache à dessein.
Jamais son œil trompeur ne vous regarde en face ;
Lui parlez-vous d’amour, elle fait la grimace :
Mais, tout en refusant vos propositions,
Son cœur accordera sans faire de façons.
Sous ce masque trompeur, toute femme est à craindre
Heureux qui l’a foutue et n’a pas à s’en plaindre.
Plus on apportera d’obstacles au désir,
Plus vous serez gâtés en quittant le plaisir.
Je crains femmes surtout qui servent la coulisse ;
C’est la grange, toujours, où gît la chaude-pisse.
Le fait m’est arrivé, j’en parle savamment
Et ne veux, à jamais, toucher tel instrument.