gage ! Sous un écho trompeur, et sous le harnais
d’une beauté moderne, gît une lourde paysanne
qui a la plus grande envie d’être sur la liste des
jolies femmes.
En arrivant à Paris, elle logea rue Saint-Denis, cul-de-sac B****. Elle avait un certain je ne sais quoi ; elle souffrait beaucoup, et dans ses moments de souffrance, elle prononçait ces mots de patois :
« Poui, ça me deugoûte. »
Il me reste à savoir si elle est toujours si dégoûtée.
Mais pour le savoir, on donnera trois francs.
Julie est une petite tachée de rousseurs ; mais elle est assez bonne enfant, quoique avec une gorge très faible. Mais, en revanche, un bon caractère assez sociable ; mise assez proprement à l’extérieur.
Je laisse aux amateurs le soin de visiter l’intérieur : trois francs.