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L’Espion libertin, Bandeau de début de chapitre
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PÂTÉ DES ITALIENS


Depuis la réunion des Italiens au théâtre Feydeau, les jolies femmes ont abandonné ce charmant séjour : quelques-unes sont restées pour les habitués.


L’espion libertin séparateur de paragraphe
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MARIETTE

est de ces dernières : elle demeure rue Favart.

C’est une très jolie femme ; elle est élancée ; sa peau est d’une blancheur éblouissante ; sa gorge ferme et bien séparée ; ses cuisses, rondes et potelées, sont deux colonnes couronnées par un portique étroit et touffu.

Pour s’en procurer l’entrée, il faut être joli garçon et un petit cadeau de six francs.


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