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pertuis, pour, par voye de distillation, purger les reliques de l’impotence féminine : et de ceux-là ne se peut-on aider sans précédente incision, qui est une chose forcée et mal plaisante. Et quoique l’on en dise, si celles qui l’on tel, demeurent longuement sans besogner du mestier de nature ; c’est toujours à recommencer, pour ce que cons artificiels ne sont jamais de telle perfection que les naturels ; d’autant que nature passe l’artifice. Touchant les cons et les moyens, je les remets au chapitre ensuivant.