Page:L’Impôt sur les célibataires.djvu/67

Cette page a été validée par deux contributeurs.

j’ai trop de confiance dans l’excellence de vos esprits, pour n’être pas convaincu que vous m’avez donné gain de cause depuis longtemps. Je vous en remercie et vais maintenant pouvoir dormir tranquille, avec la conscience d’un grand devoir accompli. L’honorable M. Vingtain en sera peut-être légèrement impressionné. Mais avec le temps, il finira par reconnaître qu’il a engendré un véritable petit monstre — ce dont il n’a pas à rougir, puisque ça arrive tous les jours aux hommes les mieux faits et les mieux constitués.

L’idée de M. Vingtain part d’un bon naturel, mais le point où il s’est placé était mauvais. Il a vu de trop près les