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Et d’abord, quant à la dernière partie de la deuxième proposition, je demande qu’elle soit mise à l’étude. Il est impossible de l’accepter sur une simple affirmation !

Certes, je n’entends point nier la vertu procréatrice des maris. Loin de moi une telle pensée ! mais il ne faut pas oublier non plus, qu’un grand nombre de pères de famille n’ont bien certainement qu’à se féliciter d’avoir eu pour amis des célibataires jeunes et vigoureux ! D’ailleurs, si tout est dans une question d’enfants, soyez logiques et imposez d’abord les mariages stériles !

Venons à la question des charges ! Eh bien, je dis que pour être de nature dif-