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permettrait à la France de réparer promptement, et avec avantage, les pertes de la dernière campagne !

Elle n’a vraiment qu’un défaut, ou deux !

C’est que, lorsqu’on aurait défalqué les dotations des jeunes mères et tendres rejetons, l’honorable M. Vingtain ne trouvât plus grand’chose pour payer ces grands choucroutivores d’outre-Rhin, et que toute l’économie de sa loi ne fût par là anéantie !

Peut-être aussi craindrait-on qu’il n’y eût bientôt plus de célibataires, assez du moins pour payer l’impôt.

Mais passons.

On ne peut être rendu responsable