Page:L’Enfant du plaisir, ou les délices de la jouissance, 1803.djvu/147

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
( 127 )


modérément chaude… Oui, ma fille, dépêche-toi, de grâce…

Tandis que la soubrette officieuse apprêtait son stratagême, j’inventai aussi un expédient, j’adapte un devant de cheminée aux cordons préparés pour tenir les lustres. Je passe un coussin sur la table qu’il forme un suspensoir ; Constance entièrement nue, se couche dessus ; je lui assujétis les pieds à deux autres cordons ; elle a les cuisses fortement écartées. Henriette arrive avec son complaisant, et l’introduit dans la coquille de sa maîtresse ; je m’assis à côté de leur groupe en provoquant mon braquemart défaillant, nous formons tous les trois la plus plaisante caricature.

Dans cette attitude, que d’objets ravissans excitent ma vigueur évanouie ; je vois le bijou de la lubrique Constance qui se dilate à chaque mouvement vigoureux et