Page:L’Apollonide (livret du drame musical, Leconte de Lisle et Franz Servais).djvu/93

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
72

Une mortelle… un Dieu !Certe Apollôn lui-même !
Que pouvons-nous, hélas, contre un Dieu qui nous aime !
Dans l’antre de Makrâ, cet enfant vit le jour
(gémissant)
Et des bras mater-