Page:L’Apollonide (livret du drame musical, Leconte de Lisle et Franz Servais).djvu/81

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
60

Est-il vrai que le Dieu, le Roi des flots sans frein
D’un seul coup de son trident d’airain,
Dans Makrâ qui s’entrouve ait englouti ton père ?

KRÉOUSA, éclatant et hors d’elle

Makrâ ! ne parle pas de cet impur repaire.