Page:L’Apollonide (livret du drame musical, Leconte de Lisle et Franz Servais).djvu/76

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
55

Si j’en crois sa beauté que nulle autre n’égale,
Cette femme sans doute est de race royale !


Scène IV

KRÉOUSA s’avance lentement soutenue par ses femmes, le regard baissé, perdue dans un rêve infini.

IÔN

Mais d’où naissent les pleurs qui coulent de ses yeux ?