Page:L’Apollonide (livret du drame musical, Leconte de Lisle et Franz Servais).djvu/359

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
338

Rien… Rien… Rien ne pourra plus nous séparer jamais !

Pendant que Iôn et Kréousa sont perdus dans leur mutuelle extase, des bruits viennent du dehors.

HOMMES

Éâ ! Éâ !

FEMMES, au dehors

Éâ ! Éâ ! Maîtresse !

HOMMES

Éâ ! Éâ ! Maîtresse ! Éâ !

FEMMES

Éâ ! Éâ ! Maîtresse ! Éâ ! Maîtresse !

HOMMES

Éâ ! Éâ ! Maîtresse ! Éâ ! Maîtresse ! Éâ !

IÔN, d’un air distrait, indifférent.

Maîtresse ! Entends ces bruits… ces clameurs confondues.

HOMMES

Éâ ! Éâ !

Entrent les femmes éplorées.