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KRÉOUSA et IÔN tombent dans les bras l’un de l’autre et se tiennent étroitement enlacés.

IÔN

Ma mère ! Mon enfant ! Oh ! viens que je te voie,
Que je te serre enfin contre mon cœur charmé !

KRÉOUSA

Et je voulais ta mort, ô mon fils bien aimé !