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Ô mon fils, Ô mon fils, Ô mon fils sur ton front charmant.

IÔN

Dieux ! tout mon cœur frémit d’espérance et de joie…
Ma mère !

À ce cri, elle se lève effarée, et se sauve vers le devant de la scène, se croyant poursuivie, comme jadis, par Apollôn. Elle s’arrête tout à coup devant les langes.

KRÉOUSA, (hors d’elle)

Ma mère ! Mon enfant !