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Faible, charmant et nu comme un petit oiseau !
IÔN
Ô prophétesse !
LA PYTHONISSE
Alors, te voyant sans défense,
Je te trouvai, pleurant dans ton humble berceau,
Faible, charmant et nu comme un petit oiseau !
Ô prophétesse !
Ô prophétesse ! Alors, te voyant sans défense,