Page:L’Apollonide (livret du drame musical, Leconte de Lisle et Franz Servais).djvu/337

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
316

Je te trouvai, pleurant dans ton humble berceau,
Faible, charmant et nu comme un petit oiseau !

IÔN

Ô prophétesse !

LA PYTHONISSE

Ô prophétesse ! Alors, te voyant sans défense,