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Où l’homme Où l’homme et les Dieux sont meilleurs ;
Où le temps qui charme nos peines
Te verserait à coupes pleines
le doux oubli de tes dou-
Jusques aux rives inconnues
Où l’homme Où l’homme et les Dieux sont meilleurs ;
Où le temps qui charme nos peines
Te verserait à coupes pleines
le doux oubli de tes dou-