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LE VIEILLARD comme atterré par ce miracle du Dieu.

LE VIEILLARD, au comble de la stupeur

Un Dieu t’a préservé de la mort !
Soit… je livre au fer
le peu de jours qui me restait à vivre…

IÔN, très ému, impatient

Vieillard, dis-moi, que t’ai-je fait ?