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Ne m’abandonne pas, ô céleste Immortel !
(avec une exaltation de plus en plus grande)
Cher Apollôn, saint temple et fatidique autel,
avec une douceur infinie
Soyez-moi bienveillant
Soyez-moi bienveillant avec une douceur infinie
Soyez-moi bienveillant et rendez-moi ma mère !