Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
233
Au milieu du tumulte général, pendant que l’on remplit les coupes, le VIEILLARD s’est approché sournoisement d’IÔN.
Le VIEILLARD, (à quelques pas d’IÔN)
Ô cher prince, Voici la coupe préparée ;
reçois-la
(se rapprochant encore)
de ma main, au nom de tes aïeux.