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Au milieu du tumulte général, pendant que l’on remplit les coupes, le VIEILLARD s’est approché sournoisement d’IÔN.

Le VIEILLARD, (à quelques pas d’IÔN)

Ô cher prince, Voici la coupe préparée ;
reçois-la
reçois-la (se rapprochant encore)
reçois-la de ma main, au nom de tes aïeux.