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Le Dieu vainqueur, toujours resplendissant, reste seul en scène, immobile comme une statue. Il tourne lentement sur lui-même, s’élevant au-dessus du sol. Il disparaît peu à peu à gauche de la scène entraînant avec lui les nuages.

Ceux-ci peu à peu s’éclaircissent et s’entrouvrent laissant