Page:L’Apollonide (livret du drame musical, Leconte de Lisle et Franz Servais).djvu/195

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
174

Mon fils ! j’ai cru revoir ta tête bien aimée !
L’émotion de la Reine est arrivée à son comble : la
scène est toute assombrie.

Ah ! que n’est-il ce fils doux et cher à mes yeux.