Page:L’Apollonide (livret du drame musical, Leconte de Lisle et Franz Servais).djvu/172

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
151


J’allais, foulant les herbes douces,
Éveillant l’oiseau dans les mousses
Avec mes rires ingénus !
J’entrela-