Page:L’Apollonide (livret du drame musical, Leconte de Lisle et Franz Servais).djvu/167

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
146

Tais-toi Mais, où ce fils a-t-il vu la lumière ?

avec autorité

Quel est ce dieu fatal et sourd à ta prière ?

KRÉOUSA comme perdue dans un rêve immobile

Parle et bien que cru-