tenaire, le jeu s’agrandissait. Léa pressait
habilement la queue, s’en chatouillait les cuisses,
le bouton, palpait toute sa longueur et sa
grosseur, se servait de la paume de la main
et des doigts alternativement, suivant la dureté
que présentait l’érection, et quand elle sentait
la jouissance sur le point de jeter au dehors
le sperme, elle intercalait le gland à l’orifice
du vagin, entre les lèvres secrètes : plaçant
alors un mouchoir de dentelles sous ses cuisses
et sous les couilles de Jacques, où leurs mains
parfois se heurtaient pour lancer des frissons
dans leurs veines, Léa masturbait et s’excitait
par le frottement du gland contre sa vulve,
contre son clitoris. Elle tenait bien dans sa
petite main l’engin mâle et le dirigeait au
mieux de son propre caprice, visant à ce que
la décharge se produisant amenât son plaisir
personnel ; et ce plaisir, elle l’obtenait par le
jet du sperme sur son con, sur son chat, par
l’humidité qui en résultait sur le mouchoir de
dentelles, gagnant peu à peu les tissus de sa
peau. La même passion les unissait dans cette
seconde, et sous l’influence de la même pensée,
leurs cuisses se disputaient la moite mouillure
du mouchoir.
Il l’eût enconnée sans difficulté ; elle se