recommençait sur le corps de sa femme les
dévotions prodiguées au corps de La Férina ;
sa langue courait sur le clitoris, pénétrait dans
le vagin, voltigeait sur le chat, soulevait les
cuisses, s’égarait entre les fesses, revenait vers
les seins, et déclarait ne pas se lasser de ce
ravissant pèlerinage. Thérèse rendait au centuple
les politesses qu’elle recevait ; elle attrapait
la queue entre ses lèvres, l’attirait dans
sa bouche, la croquignollait avec délices, la
suçait très adroitement et embrasait les sens
de son mari d’un feu inextinguible.
Ils ne s’arrêtaient plus dans leurs ardentes caresses, et tous les deux se pelotaient avec la même fièvre. Le sperme bouillonnait dans les veines de Jacques, il ne pouvait plus différer l’enconnage ; Thérèse s’y prêta à sa première attaque, et la queue s’engouffrant dans son vagin, elle répondit aux secousses de son mari, déchargeant, jouissant. La paix était bien faite. Par trois fois ils renouvelèrent cette suprême extase, et Jacques déclara que sa Thérèse demeurait indispensable à ses ivresses charnelles, lesquelles perdaient tout charme, loin de ses tendres regards, même en les éprouvant avec Lina ou Léa, ses pâles reflets.
Reconquérant son mari, sentant qu’il par-