mand gloussement avec lequel il savourait le
satiné de la peau, on admirait les gestes de
luxure de La Férina, trahissant le plaisir
qu’elle éprouvait à la langue qui lui chatouillait
le clitoris, ou s’égarait dans la fente rosée
de son cul.
Tout d’abord, Thérèse sembla vouloir se désintéresser de ce spectacle ; elle s’assit sur les genoux de son galant, tira la queue hors de sa culotte pour la masturber, ou peut-être même l’exciter à l’enconner. Elle multipliait ses agaceries, surtout si son mari levait un instant la tête pour surveiller ses actions. L’attirance de La Férina s’exerçait si despotiquement, qu’il repartait sans hésiter dans ses caresses. Puis cette indifférence qu’il affichait à son sujet commença à froisser Thérèse ; malgré elle, son attention demeurait figée sur son mari, dont elle suivait avec un dépit de moins en moins dissimulé les coups de langue sur le con et sur le cul de La Férina.
Son cavalier lui-même, Alexandre Brollé, répondait avec mollesse à ses provocations ; ses yeux brillants ne quittaient plus la maîtresse qu’il avait perdue, et ne cachaient pas le regret qui tracassait son esprit ; il contemplait avec colère la pose abandonnée dans