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Thérèse avec régularité, et prétendait qu’il l’aimait par dessus toutes les autres femmes ; Thérèse, dans les bras de Jacques, jurait que si elle avait couru après La Férina, si elle y courait encore, c’était pour la lui livrer sans qu’il y eut danger de compromettre l’union de leur communauté.

Tous les raisonnements sont admissibles. Peu à peu, le ménage à cinq reprenait ses habitudes, se décidait à continuer les spectacles des tableaux vivants érotiques, et à saisir les occasions de fête plus ou moins productives, selon les circonstances. Une seule différence s’accusait avec le passé, on recevait des visites, parmi lesquelles on remarquait celles des Gressac, d’Arthur des Gossins, de Bertrand Lagneux, d’Alexandre Brollé, d’Émile Sauton, d’Horacine et de La Férina, aimant à venir se distraire aux travaux de l’intelligente famille, ou aux flâneries sous les arbres de la propriété.

Existait-il des relations particulières et cachées entre les uns et les autres, on ne s’en inquiétait pas. Arthur des Gossins ne se pressait pas de courtiser Thérèse, ayant eu vent de son caprice pour La Férina, à qui il gardait rancune ; Alexandre Brollé et Émile Sauton, entrés dans l’intimité de Jacques par d’habiles