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murait de doux propos, ne le contrariait pas dans la hâte de son pelotage.

Il s’écroula à ses pieds, ses lèvres parcoururent toute la féminité de l’horizontale, elles la chatouillèrent de ces experts suçons qu’elle aimait tant, et sous lesquels elle se pâmait. Elle se délectait de ses furieux baisers sur son con et sur son cul, elle lui livrait ses cuisses et ses fesses sous l’impulsion de ses mouvements, puis après quelques fortes lippées où il la secouait des pieds à la tête, elle lui toucha le visage d’un doigt tremblant, et dit :

— Assez, assez, pour le moment, j’ai quelque chose à te communiquer qui va bien te surprendre.

— Non, non, je ne m’arrêterai que pour te baiser, il y a assez de temps que j’aspire après cette joie.

— Patience encore, chéri, tu sais bien que je partage ton envie ! Il faut que je te parle, et je t’assure que cela t’intéressera beaucoup.

Pour appuyer sa volonté, elle frappa un léger coup de talon sur le tapis, le saisit par dessous les bras pour l’obliger à se relever, et il dut se résigner. Pour le consoler, elle glissa la main dans sa culotte, sortit sa queue, et eut un geste de regret en constatant combien elle