Page:L’Église arménienne orientale, trad. Dulaurier, 1859.djvu/116

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

mon esprit, y détruise les pensées impures, et que la vertu de votre grâce y réside toujours, par la grâce de Notre-Seigneur Jésus-Christ, etc.

Pour les manipules :

Seigneur, accordez la force à ma main, et lavez-moi de toute souillure, afin que je puisse vous servir avec une parfaite pureté d’âme et de corps, par la grâce de Notre-Seigneur Jésus-Christ, etc.

Pour le vagas[1], mêmes oraisons que pour l’étole.
Pour la chasuble :

Seigneur, par votre miséricorde, couvrez-moi du vêtement de splendeur, et fortifiez-moi contre les assauts de l’Esprit du mal, afin que je sois digne de glorifier votre nom glorieux, par la grâce de Notre-Seigneur Jésus-Christ, etc.

Après avoir revêtu tous les vêtements sacerdotaux, le prêtre ajoute :

Mon âme se réjouira dans le Seigneur, parce qu’il m’a revêtu du vêtement de salut et du manteau d’allégresse ; il a placé sur mon front, comme sur

  1. Le vagas est un ornement demi-circulaire, qui se place sur les épaules et autour du cou, et qui a quelque analogie avec l’amict des prêtres latins. Il est ordinairement en métal, et à l’extérieur sont représentées souvent les figures des douze apôtres.