motte ; que ta bouche touche les lèvres de
mon con, et que ta langue soit prête à tout…
Comme tu comprends !… À vous maintenant,
monsieur le pourfendeur. J’espère que cette position
est à vos souhaits. Quelle perspective je
vous ai préparée ! Quelle chute de reins, quel
cul ferme et rebondi ! Surtout, pas d’erreur !
J’ai choisi cette posture comme la plus commode
à votre entreprise, comme celle qui, sans
trop de douleur, doit vous livrer cette fleur que
Marie vous a conservée. Maintenant, que chacun
de vous remplisse son devoir avec ardeur et
avec adresse. Avec un tel gaillard, je réponds de
la réussite.
(Le groupe s’arrange. Les choses d’abord vont au mieux. Le bout du vigoureux priape, préalablement enduit d’une huile odorante, et poussé avec ménagement, pénètre sans trop de difficulté, et le plaisir extrême que Marie ressent des caresses de Caroline lui faisant mépriser toute douleur, elle donne un coup de cul si violent, que le membre redouté enfonce jusqu’aux