par prudence pour ta santé, j’ai dû retarder
jusqu’à présent.
(Rentrées dans la chambre, les deux cousines s’arrachent réciproquement leurs chemises ; arrivées près du lit, Marie est la première à s’y élancer ; Caroline ne tarde pas à la suivre, et à se précipiter sur elle en la mangeant de caresses. Après quelques instants de ce jeu, qui allume le feu dans leurs sens, Caroline veut ramener Marie à l’action principale.)
Voyons, un peu de sagesse ! Écoute mes instructions et suis-les exactement. Étends-toi sur le lit, la tête soutenue par l’oreiller… Bien, t’y voilà… Moi, je vais maintenant me mettre à cheval sur ta gorge, le derrière très-élevé et tourné du côté de ta figure… Je ne te gêne en rien ? es-tu à ton aise ?
Tu es très-bien ainsi. Sais-tu que cette posture est charmante ! Je vois ton cul, tes poils touchent mes lèvres, et je sens la chaleur de ton con.
Eh bien ! introduis dedans ton doigt ; remue-